mercredi 28 octobre 2015

je me souviens : "just kids"

"Je peux encore me connecter à la personne que j’ai été à tous les âges de ma vie, depuis l’enfance jusqu’à aujourd’hui. En fait, depuis que j’ai commencé à lire des livres. A partir du moment où j’ai lu, j’ai su que je voulais écrire. Dès que j’ai réalisé que des êtres humains avaient fait de l’art, que c’était une façon de contribuer à la société, j’ai su que je voulais être artiste. Ma mère travaillait dur comme serveuse, elle faisait en plus du repassage pour les autres. Mon père était ouvrier. J’ai grandi dans un quartier très pauvre du sud du New Jersey, où les gens étaient tous des travailleurs manuels qui s’épuisaient à la tâche. Très jeune, j’ai décidé que cette vie n’était pas pour moi, que je contribuerai à la société par l’art. Dans ce sens, je n’ai pas changé."


l'autobiographie : premières pages, premiers moments



CGE
THEME 2
« JE ME SOUVIENS »

DST / OCTOBRE 2015
MUC2
Synthèse 2

L’autobiographie : premières pages, premiers moments

Vous rédigerez une synthèse concise objective et ordonnée de  ce dossier, composé de premières pages d’autobiographies d’artistes.

- Patti Smith ((née en 1946), Just Kids, 2010.
- Jean Renoir(1894-1979), « Magagnosc », Ma vie, mes films, 1974.
- Dave Van Ronk (1936-2002), « ¨Préhistoire : jeunesse en périphérie », Manhattan Folk Story, 2005.

Introduction / 4 points (présentation du dossier et de ses points forts, de la problématique et du plan)
Développement  en 3 parties et 2 ou 3 sous-parties à chaque fois (incluant des références précises et explicites aux auteurs)/ 15 points
Conclusion / 1 point

mardi 1 septembre 2015

un (bel) éloge des souvenirs


Je me souviens : le thème 2016-2017



BTS / session 2014-2016 / CGE
Thème n° 2 - Je me souviens

Problématique(s)

Pris dans le flux de l'immédiat et du court terme, emportés par le cours accéléré de la vie, nous n'en prenons pas moins le temps de nous tourner vers le passé. 

1>    Nous explorons nos souvenirs personnels,
2>    nous partageons des souvenirs communs et
3>    nous nous replongeons volontiers dans un passé reconstruit et idéalisé.

Pourtant, nous acceptons aussi d'oublier, nous en percevons même la nécessité. Nous oublions ce qui est
1>    anecdotique,
1>    ce qui est accessoire ;
2>    nous oublions parfois aussi l'essentiel. 

La littérature contemporaine rend bien compte de ces contradictions : nous cultivons une étrange mémoire, souvent lacunaire et prête à réécrire le passé en vertu des droits de la fiction.
Notre identité n'est-elle faite que de mémoire ? Si l'individu est souvent
1>    tourné vers ses souvenirs,
2>prompt à la nostalgie,
2>    voire à la régression,
il peut aussi revendiquer son droit à l'oubli

a) Comment, dans un monde où l'on maîtrise mal les informations stockées dans l'espace numérique, essentiellement public, effacer les traces encombrantes dont la Toile garde l'empreinte ?
b) Comment se construire sereinement sans l'oubli ?
c) Quelle place accorder à l'oubli des divisions et des conflits passés ?

La société, de son côté, oscille entre la nécessité de remettre en cause les traditions, de secouer les inerties, et le devoir de mémoire : les lieux de mémoire se multiplient et les cérémonies de commémoration scandent la vie citoyenne. Entre mémoire à préserver et oubli à assumer, entre nostalgie et aspiration à la modernité, individus et société
Ø  hésitent,
Ø  s'inquiètent,
Ø  tâtonnent.

La quête est ainsi tout autant celle des temps perdus que celles des lendemains enchanteurs.
Comment concilier devoir de mémoire et nécessité de l'oubli ? Comment entretenir la mémoire tout en respectant le mouvement de la vie ? Comment, somme toute, faire que la mémoire reste vive ?

mardi 5 mai 2015

le culte des objets : aide-mémoire de la session 2015




CGE / thème 2015-2016
« Ces objets qui nos envahissent : objets cultes et culte des objets »

Aide-mémoire


1      >     Objets / choses / outils / machines / gadgets

2     >     Développer le champ sémantique du culte :

3      >    Les titres (et leur signification)  des livres de :

-          François Bon :
-          Raymond Loewy :

4    >      Qui sont les personnages de :

-          G. Perec  dans le roman Les Choses (+date et contexte) ?

-          E. Zola dans Au Bonheur des Dames (+ date et contexte) ?


5     >     Emancipation / aliénation

6    >   Profusion / prolifération / invasion

7    >     La devise du Musée des Arts Décoratifs : 

8   >       Quel est le degré de satire de Tati dans Playtime ?

9    >     A quoi est dû le triomphe des objets ?


1   >   Que nous montre la photographie de Willy Ronis  « La bicyclette », prise à Noël 1954 dans un grand magasin parisien ?

1   >   A quelles valeurs se rattache le culte contemporain des objets ?

1  >   Quelles fonctions justifient l’importance accordée aux objets dans notre société ?

1  >   3 objets cultes et leurs caractères
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De la « part de rêve que chacun porte en soi » au culte des objets : Emma Bovary, Mme Loisel, C. Mc Candless.

jeudi 26 mars 2015

le grand magasin, temple de la consommation



CGE / thème 2 / session 2015
apleguelte@aureis.fr / les mots et les images du BTS

Synthèse

Le grand magasin, temple de la consommation

-         E. Pélegrin-Genel, Des souris dans un labyrinthe, 2010.
-         E. Zola, Au Bonheur des Dames, « La gaieté brutale des soirs de carnage », 1883.
-         W. Ronis, « La bicyclette », 1954.
-         W. Ronis, Ce jour-là, 2006.

Ø Quel rôle joue le grand magasin dans le culte des objets ?
Ø Pourquoi sacraliser le grand magasin ?
Ø Quelles valeurs sont en jeu / transformées / illustrées dans ce temple de la consommation ?

1.      Description
Qui est concerné / quels objets sont vendus / comment le grand magasin est-il organisé ?

2.      Quelles fonctions expliquent la sacralisation du grand magasin ?
Pratique / esthétique / sociale / ostentatoire / etc.

3.      La réflexion sur les valeurs de notre société
La liberté individuelle / l’innovation et la modernité / l’identité / la part de rêve / etc.